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Hôtel Ferme de la Grande Cour, 185 chemin des Bruyères, Côte de Grâce, 14600 Honfleur
site web : fermedelagrandecour.com
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Hôtel Ferme de la Grande Cour, 185 chemin des Bruyères, Côte de Grâce, 14600 Honfleur
site web : fermedelagrandecour.com
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Hotel du Dauphin, fait suite à un vieil hôtel de 1620. Transformé en 1912 pour donner "Les Galeries Modernes" puis "Nouvelles Galeries " et enfin "Monoprix" jusqu'en 1993. Ensuite " Spot" et la "Halle". A l'origine Codec était le rayon alimentaire des Galeries Modernes avant de devenir indépendant (juste affilié à la chaîne Codec) avec M. et Mme Hardoin.
Source Pierre Jan - DHC
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Les monuments sont situés dans le département français du Calvados, au centre de la ville de Honfleur, quai de la Tour, dans le quartier de l’Enclos. Trois greniers à sel ont été édifiés en 1670, en vue du stockage du sel pour la gabelle, en grande partie avec des pierres issues des anciens remparts de la ville. Ils permettaient d’entreposer 10 000 tonnes de sel destinées à la pêche à la morue sur les bancs de Terre-Neuve. Seuls deux des trois greniers ont été conservés et sont aujourd'hui propriété de la ville qui les utilise comme salles communales (expositions, concerts, conférences…) Les deux édifices sont respectivement classés au titre des monuments historiques le 31 juillet et le 6 décembre 1916
Source Wikipédia
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La Ferme Saint-Siméon ou Ferme Toutain est un bâtiment du xviie siècle situé sur les hauteurs de Honfleur, en Normandie. Le lieu est célèbre pour avoir été au milieu du xixe siècle le lieu de rencontre de nombreux peintres, notamment pré-impressionnistes et impressionnistes. Aujourd'hui, il est transformé en un restaurant et hôtel de luxe cinq étoiles appartenant à la chaîne Relais et Châteaux. À l'origine, une léproserie occupait les lieux, puis une petite chapelle des Capucins dédiée à saint Siméon. En 1825, Pierre-Louis Toutain ouvre une auberge dans un des anciens bâtiments de style normand en pans de bois. Réputée pour sa table, l'auberge offre aussi des chambres aux voyageurs. C'est le peintre Hâvrais Eugène Boudin qui prend l'habitude, à partir de 1854, de traverser l'estuaire de la Seine pour venir se reposer dans ce lieu calme et bucolique. Il y entraîne bientôt la fine fleur des peintres parisiens et normands, accompagnés parfois de poètes et musiciens, ils y trouvent le gîte et le couvert pour 40 francs par mois. En 1865 La Ferme est mise en vente par son propriétaire monsieur de Varin et en 1870 monsieur Chasle déjà propriétaire du Cheval Blanc à Honfleur reprend l'affaire. Des travaux sont effectués, le toit de chaume est remplacé par des ardoises. L'auberge conviviale est fermée et, vers 1880, les peintres désertent le lieu au profit de Dieppe où ils retrouvent leurs collègues anglais. Eugène Boudin, habitant Le Havre à cette époque a été à l'origine des séjours de peintres à Saint-Siméon, à la fin de sa vie, se souvenant de ces jours éblouis, il écrira à un ami : « Oh ! Saint-Siméon, il y aurait une belle légende à écrire sur cette hôtellerie. ». Plus d'une trentaine de peintres ont fréquenté l'endroit. L'importance des rencontres qui se sont faites dans ce lieu où régnaient la liberté et la confrontation des expériences a permis à Jacques-Sylvain Klein d'écrire que « les Rencontres de Saint-Simé (sont un) éblouissant prélude à l'impressionnisme. ». En 1862, Monet, alors âgé de 22 ans et Jongkind, accompagnent Boudin dans ses promenades sur la côte normande et découvrent avec lui la peinture en extérieur. D'autres grands noms de la peinture viendront s'exercer à la lumière normande : Gustave Courbet, Frédéric Bazille, Eugène Isabey, Jean-Baptiste Corot, Antoine Guillemet, Karl Daubigny, Adolphe-Félix Cals,Félix Buhot, Jules Chéret, Louis-Alexandre Dubourg, Norbert Gœneutte, Félix Bracquemond, Jean Achard, Henri Guérard et son épouse Eva Gonzalès parmi d'autres, ainsi que des écrivains, notamment les frères Goncourt ou le poète et musicien Ernest Cabaner.
Source Wikipédia
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Propriété construite en 1886 par Clément de ROYER. Le calvaire fut béni en 1897 en présence de nombreuses personnalités, voilà ce que rapporte à ce sujet l’écho Honfleurais du 28 août 1897 : « Un nombreux clergé, à la tête duquel marchaient messieurs les curés de Saint Léonard, de la Rivière Saint Sauveur, de Villerville, de Saint Gatien, d’Equemauville etc., monsieur l’abbé FOVARD, messieurs les pères MATHAN, EXUPERE, le chapelain de la Côte de Grâce, les vicaires de Sainte Catherine, entourait Monseigneur (HUGONIN, évêque de Lisieux). Messieurs Clément, Paul et Louis de ROYER suivaient immédiatement le prélat qui s’est rendu processionnellement du château au calvaire. La fanfare de Lisieux conduisait le cortège et faisait entendre les meilleurs air. Une foule très nombreuse et recueillie suivait les châtelains de la Pimprenelle. Rien n’était beau comme le décor féerique de cette longue allée qui serpente dans le parc, à l’abri d’arbres séculaires, le cortège s’y déroulait majestueux. Monsieur LA BUTE, vicaire général de Bayeux, a prononcé aux pieds de la Croix une vibrante allocution pour remercier la famille de ROYER de sa courageuse et chrétienne initiative, et pour rappeler la vie si bien remplie de son illustre chef. Les maires de Vasouy et de Pennedepie, leurs adjoints et les conseillers municipaux des deux communes assistaient à cette belle fête de famille qui s’est terminée par un lunch sur la terrasse de la Pimprenelle, terrasse qui domine la mer. Là, Monseigneur s’est entretenu tout amicalement avec les membres du clergé et les assistants. Il a écouté avec intérêt les morceaux savamment exécutés par la Fanfare, et il a admiré notre belle vue de la Côte de Grâce, si justement renommée.
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A l’extrémité du Vieux Bassin se dresse la Lieutenance, ainsi appelée parce que ce monument servait à partir du XVIIè siècle de logis au Lieutenant du Roi. C’est le seul vestige important des fortifications de la ville, remanié au cours des siècles, surtout au XVIè et XVIIè siècles. Aussi est-il bien difficile aujourd’hui d’y reconnaître les traces de la porte fortifiée, dite “Porte de Caen”, qui commandait au Moyen-Age, l’entrée de la forteresse honfleuraise. Cependant, en y regardant de près, on distingue encore des deux côtés des traces d’arrachement des anciens remparts, qui partaient de la Lieutenance pour entourer la ville forte. Ces remparts coupaient le Vieux Bassin actuel, qui était à l’origine beaucoup moins large. La porte elle même date du début du XVIIè siècle. Elle est surmontée d’une niche, qui contient une statue de la Vierge (Notre-Dame du Port), et flanquée de deux gracieuses tourelles en encorbellement, décorées des armes de la ville. Elle était précédée d’un pont-levis et défendue au nord par un bastion crénelé qui n’existe plus. Face à la Lieutenance, de l’autre côté du pont, s’élevait la “Tour Carrée”. Avant la construction du bassin actuel, des chaînes étaient, en effet, tendues la nuit pour interdire l’entrée du port. La tour fut détruite en 1808.
Source: Office du Tourisme d'Honfleur
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Le Vieux Bassin est un port situé au centre de la ville de Honfleur dans le département français du Calvados en Basse-Normandie. Ses étroites maisons en ardoises se reflétant dans le bassin en font la principale attraction touristique de Honfleur. Ce bassin à flot est créé sur les instances d’Abraham Duquesne et par ordre de Colbert en 1681. Il remplace l’ancien havre d’échouage qui était beaucoup plus étroit. Ces travaux nécessitent la destruction de la partie occidentale des remparts. Ils se terminent en 1684. Le Vieux Bassin est entouré par le quai Sainte-Catherine à l'ouest et pour une partie du côté sud. Les maisons de ce quai numérotées de 2 à 68 sont inscrites au titre des monuments historiques depuis 1933. La quarantaine de demeures datent des xviie et xviiie siècles. Elles sont étroites et comptent de trois à sept étages (sauf la maison no 2 qui ne compte qu'un étage). Beaucoup de façades sont recouvertes d'ardoises. Certaines demeures sont bâties en encorbellement. Cette suite ininterrompue de maisons anciennes et leur reflet dans l'eau du bassin accentuent encore la beauté de ce lieu prisé par de nombreux peintres et photographes. Le vieux bassin a toujours été représenté par des artistes dont notamment Gustave Courbet, Eugène Boudin, Claude Monet et Johan Barthold Jongkind, formant l’École de Honfleur qui contribua à l'apparition du mouvement impressionniste. Aujourd'hui, la plupart des rez-de-chaussée du quai Sainte-Catherine sont occupés par des restaurants et des brasseries. Le côté sud prolonge le quai Sainte-Catherine par la rue Montpensier. Par un parcours souterrain, le ruisseau de la Claire alimente le bassin. La partie orientale du bassin n'est occupée que par une douzaine de constructions constituant le quai Saint-Étienne. Parmi celles-ci, se trouvent l'Hôtel de Ville (protégé au titre des monuments historiques depuis 1989), l'église Saint-Étienne (protégée au titre des monuments historiques depuis 1932) et le musée de la Marine. Trois ruelles accèdent au quai Saint-Étienne. Du coté nord ou côté maritime, se trouve le quai de la Quarantaine et un seul bâtiment : la Lieutenance qui était jadis le logis du lieutenant du roi. C’est le seul vestige important des fortifications de la ville. Le pont mobile sur le chenal vers l'avant-port formé par la Morelle ainsi qu'un manège forain complètent le tour du bassin.
Source Wikipédia
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La petite route derrière la chapelle, mène au Mont-Joli, situé sur la commune d’Equemauville (soit à environ 1,5 km du centre de Honfleur) mais propriété de la ville de Honfleur depuis le début du XIXè siècle. Le Mont-Joli domine la ville et offre un très beau panorama sur la vallée de la Seine et sur le Pont de Normandie qui relie Honfleur au Havre.
Source: Office du tourisme d'Honfleur